
Je suis un désastre. Mais ce n'est pas ma faute. À chaque fois que j'essaie de faire une opération mathématique, je finis par avoir un résultat différent à celui des solutions. Mon problème c'est que, quand les signes négatifs décident de jouer au cache-cache, je ne peux pas me nier. Si, après quelque temps, je ne suis pas capable de les trouver, je décide de les substituer d'une manière un peu insoucieuse par les signes "+", beaucoup plus dociles. Lors qu'après des années d'applications systématiques et répétitives, les dérivées me font prière de les amuser un peu, je n'ose pas les décevoir. Alors, je trouve des copains inattendus aux fonctions que je dérive et elles s'amusent comme jamais dans sa vie en se trouvant à côté d'un numéro ou paramètre inattendu. Là où il devrait avoir un "x·y" je mets un "x·z" et les x et les z rigolent ensemble et se racontent les histoires cumulées pendant beaucoup de temps (les z son très bavardes). De la même manière, quand j'applique la règle de la chaine, je décide d'enlever un élément qui me fait prière de lui concéder un peu de repos. Tant que je poursuis mes calculs, l'élément omis me remercie en même temps qu'il se couche discrètement dans un coin de ma table. Quand je finis mes calculs, je me rends compte qu'après les cache-cache, les re-allocations de copains et les permissions temporelles pour se reposer, le résultat n'est pas celui fixé par les gens serieux. On dit que je suis un désastre. Mais ce n'est pas ma faute.
4 comments:
para que luego hablen de la exactitud de los calculos econométricos y lo disciplinaditos que son los numeros y los signos. Ves con cuidado, que si esto te lo hacen los números, no me quiero imaginar como se te pueden descontrolar las letras, y ya no te digo nada de las letras sindicadas en palabras o más allá, en monstruosas frases o, Dios no lo quiera, incluso libros o contextopedias. Cuidadín con las rebeldes, la que se nos viene encima!
Ya te lo dije> "no , no te arrimes a las derivadas", no, no lo hagas... te llevaran por el mal camino....
Álvaro, te pasa con los números lo que a mi con los conceptos abstractos. En mi caso cuando creo haberlos entendido, resulta que no significan con total exactitud lo que pensaba, y vuelta a empezar, a intentar redactar de otra forma, a ver si casa esto con esto y con lo otro y sale algo mínimamente coherente. Ando un poco (bastante) agobiado con el final de curso y con lo del trabajo de investigación. Por ello, aprovecho esta ocasión de solidarizarme contigo (tú, números; yo, conceptos) para enviarte un entrañabilísmo abrazo. A ver si un día dejo los conceptos y otras insignificancias y hago algo verdaderamente importante: escribirte o llamarte. Me imagino que los teléfonos serán los que escribiste en una de las primeras entradas. Desde el pegajoso e insoportable calor del verano trúñico, José-Vicente.
Cualquiera habría dicho que la "z" era más dormilona que dicharachera, pero está visto que, con las matemáticas, ¡nunca se sabe!
Post a Comment