Thursday, August 26, 2010

Yann Tiersen - Dust lane

Il y a des artistes qui nous reflètent, qui mettent de la musique à des étapes et des moments de notre vie et qui nous aident à nous projeter à travers leurs notes. Car certains sentiments ou passages demandent de la poésie ou de la musique pour être retraités de la manière la plus fidèle possible. Yann Tiersen a été (il l'est encore) un musicien très important pour moi. Ma capacité critique vis-à-vis ce breton multi-instrumentiste au regard timide et voix délicate est plutôt nulle. Il m'a accompagné lors des dernières six ans de ma vie. Une période particulièrement intense, il faut le dire. Même si maintenant ses morceaux ont plus de guitare -voire des synthesisers-, on sent aussi les éléments de continuité qui nous relient au passé. Tout comme notre vie, l'évolution de l'artiste reste dépendante et marquée par le passé, par ces passages, influences et évènements qui nous ont aidé à devenir ce que nous sommes en ce moment et sans lesquels il serait (encore plus) difficile de nous comprendre. Présentation de Dust Lane. La vidéo ne sera disponible que pendant un mois. L'artiste parle. Les mots doivent s'arrêter.



Yann Tiersen presenta su nuevo album -Dust Lane. El vídeo sólo estará disponible durante un mes. Habla el artista. Que callen las palabras. Disfruten, por favor.

4 comments:

Leire said...

He entendido una palabra de cada tres. Aun así, para una "música" (o sólo alguien que lleva una semana tocando 5 horas al día) es maravilloso que los escuchantes (no sólo oyentes, ¿verdad?) digan cosas así de vez en cuando y el mundo se acuerde de reconocer nuestro trabajo. Un beso.

Alvagó said...

Lo siento, Leire. Esta entrada me pedía ser escrita en francés.
Los músicos hacéis cosas maravillosas y en más de una vez os he envidiado por disponer de una canal de expresión único e imprescindible para transmitir ciertas emociones. No dejes nunca la música.
Muchos besos.

Saioa said...

Mmmm...envidiado? Álvarito...eso sólo lo podemos decir nosotras. No me discutas, no servirá de nada.
Besets

Alvagó said...

No dejas mucho margen para el debate, Saioa, así que no me queda más remedio que acatar tu veredicto... ;)

Besets!