Monday, February 9, 2009

Yo, economista neoclásico / Moi, économiste néoclassique

El edificio neoclásico construido por los economistas a lo largo del siglo XX no está exento de cierta belleza. Los iniciados -iluminados con acceso a los secretos de la metodología- descubren unos modelos perfectamente armados, sólidamente fundados, rigurosamente desarrollados. Nada falla. Todo encaja y responde a una lógica "aplastante". El hereje no tiene una tarea fácil. El aparato neoclásico, que ya de por sí debe ser tomado muy en serio por todo lo dicho, goza de décadas de desarrollo y afinamiento de su maquinaria y además disfruta de una extraña hegemonía con respecto al resto de metodologías en ciencias sociales.
No esperéis encontrar aquí una crítica profunda o demasiado seria del neoclasicismo. En primer lugar no creo que sea la persona más autorizada para ello. No mientras no haya logrado ser uno de los iniciados en esta religión única de la Economía. En segundo lugar, no me libro de la impresión de tener una serie de ideas a las que le cuesta cobrar forma o expresarse de manera coherente. De todos modos no me resistiré a apuntar tres breves notas sobre esta metodología que se despliega día tras día ante mí.

1. El deseo de rigurosidad (y un cierto complejo de inferioridad y envidia con respecto a la física mecanicista del siglo XIX) han llevado a una matematización muy importante del razonamiento en Economía. El neoclasicismo se erige en abanderado y portavoz absoluto de esta tendencia. Todo esto se halla ligado de manera más o menos directa al desarrollo de un concepto de racionalidad y de comportamiento de los agentes económicos que, en mi opinión, ha desligado progresivamente la Economía del resto de ciencias sociales. La Historia, la Sociología, la Psicología, la Antropología, la Filosofía Política... casi todas las ciencias sociales beben en mayor o en menor medida las unas de las otras. Recurren en tal o tal punto a elementos y análisis prestados de sus "hermanas". La Economía, en cambio, vive en un preocupante autismo. El homo oeconomicus maximiza su utilidad compulsivamente y las empresas hacen lo propio con su funión de beneficios. El contexto histórico o las clases sociales tienen un rol inexistente o prácticamente nulo en los modelos donde Robinson Crusoe es el protagonista absoluto. Las honrosas excepciones a lo que acabamos de ver -como, por ejemplo, la Economía Experimental- todavía tienen un largo camino que recorrer.

2. Por desgracia, la elegancia y la rigurosidad que se buscan con la metodología esbozada en el primer punto no dotan a la Economía de la neutralidad o la objetividad de la que algunos neoclásicos creen poder disfrutar. La teoría neoclásica toma prestados del viejo utilitarismo una gran parte de sus herramientas analíticas y normativas. Pareto, por ejemplo, goza de una sorprendente (y, a mi modo de ver, injusta) hegemonía a la hora de juzgar lo deseable u óptimo. El estudiante en Economía razona siempre -y quizá sin ser demasaido consciente de ello- en el terreno de juego marcado por el utilitarismo. Por muy poderosa y respetable que sea la corriente utilitarista (y lo es mucho), el siglo XX ha asisitido al desarrollo de otras teorías que merecerían ser tenidas en cuenta.

3. De todo lo anterior se deduce que en ocasiones las conclusiones de los modelos que se estudian sean abusivas, difíciles de digerir o basadas en hipótesis de dudoso interés o adecuación a la realidad. Nada sorpredente en realidad. De nuevo, algunas herejías incipientes en el seno de la profesión -como la Economía Experimental- permiten contestar algunos de los mandamientos escritos en nuestras tablas sin por ello renunciar a la rigurosidad.

No iré más lejos. Tampoco me quedan muchas más balas. Voy a igualar a cero algunas derivadas... los economistas neoclásicos lo necesitamos hacer varias veces al día...



L'édifice néoclassique bâti par les économistes au long du XXème siècle ne manque pas d'une certaine beauté. Les initiés -des illuminés avec accès aux secrets de la méthodologie- découvrent des modèles parfaitement armés, solidement fondés, rigoureusement développés. Rien ne cloche. Tout a un sens et répond à une logique implacable. L'hérétique n'a pas une tâche facile devant soi. Le système néoclassique, qui mérite déjà d'être pris très au sérieux grâce à tout ce qui vient d'être dit, profite de décennies de développement et raffinement de sa machinerie et, en plus, jouit d'une hégémonie singulière par rapport au reste des méthodes en sciences sociales.
N'attendez pas de trouver ici une critique profonde ou trop sérieuse du néoclassicisme. Tout d'abord je ne crois pas que je sois la personne la plus autorisée pour cela. Pas tant que je ne sois pas capable de devenir l'un de ces initiés dans cette religion unique de l'Économie. Deuxièmement, je n'arrive pas à me débarrasser de l'impression d'avoir une série d'idées qui ont du mal à prendre une forme concrète ou à se concrétiser de manière cohérente. Quoi qu'il en soit, je ne me résisterai à esquisser trois brèves notes sur cette méthodologie qui se déploie jour après jour devant mes yeux.

1. Le désir de rigueur (et un certain complexe d'infériorité et envie par rapport à la physique mécaniciste du XIXème siècle) ont amené à une mathématisation très importante du raisonnement en Economie. Le néoclassicisme s'érige en pavillon et porte-parole absolu de cette tendance. Tout cela est lié de manière plus ou moins directe au développement d'un concept de rationalité et de comportement des agents économiques qui, à mon avis, a dissocié progressivement l'Économie du reste des sciences sociales. L'Histoire, la Sociologie, la Psychologie, l'Anthropologie, la Philosophie Politique... presque toutes les sciences sociales sont en rapport dans une plus grande ou moindre mesure les unes avec les autres. Ils ont recours dans tel ou tel point a des éléments et des analyses empruntés de ses "sœurs". L'Économie, par contre, vive dans un préoccupant autisme. L'homo oeconomicus maximise son utilité compulsivement et les entreprises font de même avec ses profits. Le contexte historique ou les classes sociales ont un rôle inexistant ou presque nul dans des modèles ou Robinson Crusoe est le protagoniste absolu. Les honorables exceptions à ce que l'on vient de voir -comme, par exemple, l'Économie Expérimentale- ont encore un long chemin à parcourir.

2. Malheureusement, l'élégance et la rigueur qui sont cherchées avec la méthodologie ébauché au premier point, ne fournissent pas à l'Économie la neutralité et l'objectivité dont certains néoclassiques pensent jouir. La théorie néoclassique emprunte du vieil utilitarisme une grande partie de ses outils analytiques et normatifs. Pareto, par exemple, profite d'une surprenante (et, à mon avis, injuste) hégémonie quand le moment de juger le désirable et l'optimale est venu. L'étudiant en Économie raisonne toujours -peut-être sans en être conscient- dans le terrain de jeu marqué par l'utilitarisme. Aussi dure et respectable que soit le courant utilitariste (et il l'est beaucoup), le XXème siècle a vu naître et se développer d'autres théories qui mériteraient également d'être prises en compte.

3. D'après tout ce que l'on vient de dire, on en déduit que, parfois, les conclussions des modèles soient abusives, difficiles à digérer ou basées sur des hypothèses avec un intérêt douteux ou peu d'adéquation à la réalité. Rien de surprenant en fait. Encore une fois, certaines hérésies naissantes au sein de la profession -comme l'Économie Expérimentale- permettent de contester certains des commandements écrits sur nos tables sans pour autant renoncer à la rigueur.

Je n'irai pas plus loin. Je n'ai pas beaucoup plus de balles non plus. Je vais égaliser à zéro quelques dérivées... les économistes néoclassiques en avons besoin plusieurs fois par jour...

[PS aux lecteurs français : le fait d’écrire cette traduction quelques jours après de son édition en espagnol m’a permis de profiter d’un certain feedback de mes amis espagnols. Même si je continue à soutenir les idées principales qui viennent d’être exposées, je suis plus conscient que jamais de la complexité et de la difficulté du sujet que j’ose aborder en moins d’une page de Word. La conceptualisation est souvent floue et pas trop précise. En plus, je mélange des aspects directement liés à la méthodologie néoclassique (mathématisation et hyper-rationalité) avec d’autres qui ne découlent pas forcément de lui (dérive utilitariste). Par ailleurs, je voudrais souligner le fait que je ne me considère pas trop bien équipé pour critiquer le mouvement néoclassique. Tant que je ne réussisse pas à bien comprendre ses mécanismes (et Maryland c’est un endroit excellent pour cela) je ne pourrai pas me débarrasser d’une certaine sensation de malhonnêteté intellectuelle : la malhonnêteté de celui qui critique une méthode que ne maîtrise pas bien car, qui sait, peut-être il craigne de ne jamais être capable de le faire...]


Canción del día/Chanson du jour: Denia

6 comments:

Pablo J Perez said...

Nunca dejará de sorprenderme tu giro hacia la matemática. ¡Enhorabuena! Supongo que por alguna ley no escrita, cuando algunos abandonamos el camino de las mates, otros tienen que venir a llenarlo…

Me pongo trascendental/criticón y te comento unas cuantas cosas que pasan por mi cabeza:

1) No todo lo que tiene números es una ciencia. A muchas “ciencias” les gusta hablar con números para colocarse en un status superior a sus hermanos (cualquier ciencia social que utilice la estadística). Otras se ponen nombres rimbombantes (Programación Neurolingüistica…). Otras ni siquiera son ciencias porque no buscan entender el porqué de las cosas (la medicina en general, excepto algunas tendencias emergentes)
2) Muchos modelos de economía/finanzas se basan en asunciones falsas. Las asunciones aparecen en la página 1 del manual y nunca se vuelve a hablar de ellas, pero como son falsas en realidad el resto del libro se podría tirar a la basura. Ejemplos varios:
a. Modelos de medición de riesgo de las inversiones (CAPM …) suponen que las variaciones de los mercados se distribuyen de forma gaussiana, pero eso es radicalmente falso. Supongo que hacen modelos refinadísimos para intentar solucionarlo, pero al fin y al cabo siempre se subestima el riesgo.
b. Los consumidores se comportan de manera racional y toman decisiones que maximizan la utilidad. (Libro recomendado: “Las Trampas del deseo”, de Dan Ariely). De hecho, en mi vida diaria, veo que los consumidores están muy lejos de la racionalidad (y casi de la inteligencia)
c. O yendo a lo más actual, para que un sistema bancario funcione y “multiplique el dinero” hace falta confianza

También te alegrará saber que mis principios liberales pasan por una grave crisis. Después de todo lo que ha pasado, del cinismo y el doble rasero de “los míos”, ya no creo en nada. Escuchar a Xavier Sala i Martí intentando defender los postulados liberales diciendo que todo había sido culpa de “no ser suficientemente liberal” me parece tan cutre como cuando los izquierdistas españoles justificaban el fracaso de la URSS porque “no habían sido suficientemente comunistas”. Vamos, lo dicho, que ahora soy un ser sin principios.

Por cierto, no sé si estarás al corriente que el año que viene iré a CEIBS (una escuela de negocios de Shanghai) para hacer un MBA Full Time. Por supuesto, becado por alguien (en este caso La Caixa). Me gusta ver que todos los beneficios que siempre me ha negado el Estado vuelven a mí en forma de caridad privada 

Un abrazo,
Pablo

Emili Morant said...

A ver si me sale un parrafito sobre el tema que no sea autobiográfico (en estas reflexiones sobre la cientificidad y el método me cuesta hablar de algo que no sea yo mismo).

Las matemáticas, los números, las medidas más o menos rigurosas son solamente una herramienta. El esfuerzo que requiere dominarla hace a muchos desistir, y despreciar su utilidad: la zorra y las uvas, ya se sabe. Pero en cambio, los que sí dedican buena parte de su vida a entenderlas pueden extender, bienintencionadamente, los límites en que puede ser de utilidad una cifra, un estudio. Solamente quien domina una técnica puede acabar descubriendo para qué no sirve. No obstante, un reconocimiento así suele llegar en el momento en que ya no nos conviene: nuestro trabajo, nuestro doctorado, puede depender de la aplicación de esas mismas técnicas sobre las que planea ya nuestro escepticismo. Incómodo, por lo menos.

Es en ese punto en que el método acaba cuando hace falta poner algo más sobre la mesa: y quizá (en tu caso) no sean conocimientos de otras ciencias sociales (a veces contaminadas igualmente por un afán positivista que resulta aún más impropio que en la Economía), sino algo que generalmente no se encuentra en los libros: sentido común. Y sentido crítico.

Es probable que te pases los próximos años igualando derivadas a cero: no se me ocurre mejor pasatiempo ahora que eres joven :-). Es probable que muchos de esos modelos no sirvan para nada: pero puede pasar mucho tiempo hasta que sepas cuáles son los pocos que sí. El método que pacientemente construyes se parece a las rejas de tu propia celda: debes escapar, por supuesto, pero nunca antes de terminarla y verte encerrado dentro. Ese día necesitarás tu amplitud de miras, pero quizá no antes: mientras tanto sigue entrenando, sigue leyendo, sigue escribiendo...

(joer qué rollo ti he soltao...)

Hank Quinlan said...

Comentarios rápidos que se me ocurren, y que desde luego son completamente personales:

(i) Te jodes. Si estás en Maryland es porque quieres, y porque quisiste ir a un programa de doctorado "serio".

(ii) No me interesa mucho la economía, pero no tengo muy claro qué es realmente la economíaa neoclásica. Si uso un modelo matemático que supone que los agentes no son racionales, ¿soy neoclásico? Si utilizo el criterio de pareto para comparar instituciones en las que hay agentes que maximizan la probabilidad de hacer una revolución, ¿soy neoclásico? No confundamos churras (Mateméticas, Racionalidad, Función Objetivo) con merinas (maximizo mi dinero de manera hiperracional).

(iii) Quizás no sé economía (algo perfectamente posible), o soy demasiado afortunado. Pero mno he dejado nunca que nadie me diga qué supuestos elegir (me gusta elegirlos cálidos, contrastables y tan próximos a la realidad como me lo permita mi escaso conocimiento). Quizás soy neoclásico y no lo sé. Mis coautores (y sin embargo amigos) psicólogos, matemáticos, sociólogos y political scientists no sé si starían de acuerdo. TGraducción: depende de tí tener una visión reduccionista y normativa, en su sentido más estrecho, de la realidad, o una visión abierta, y poética, de este diminuto mundo en el que nos ha tocado vivir.

(iv) Podría decirte, siguiendo al filósofo van Gaal, "tú siempre negativo". Pero prefiero creer que hay vida después del primer año, o después de cualquier año, y que el futuro (al menos el mío, y el tuyo) está aún por escribir. Así que ponte a hacer derivadas como un poseso, pero no dejes de gritar por lo bajini: "¡Viva el realismo visceral!".

Cuídate.

Alvagó said...

Los comentarios han sido muchos y buenos. Me resulta imposible (o poco deseable si quiero mantener contentos a mis profesores) contestar en detalle a todo lo dicho, pero querría hacer algunas pequeñas anotaciones:

- Aunque quizá no se desprenda bien del texto, me encuentro muy motivado y casi desesoso de aprender e interiorizar el método neoclásico. Esto, Pablo, no quita que no comparta tu escepticismo y crítica "vis-à-vis" de ciertas hipótesis que se hacen comúnmente en Economía y que, al mismo tiempo, niegue la máxima de Immanuel Van Gaal al decirme que al fin y al cabo no soy tan negativo en mi manera de ver las cosas, Quique.

- ¿Qué es el método neoclásico, Quique? Aún a riesgo de quedar en ridículo ante los que sabéis de esto y con el miedo de sospechar que no lo he pensado todo lo que debiera antes de meterme en este berenjenal, diré que es una metodología basada en el individualismo metodológico, la hipótesis de racionalidad (¿extrema?) en el comportamiento de los agentes y un uso intensivo de las matemáticas para desarrollar y exponer las ideas. Me doy cuenta de que la definición aún cojea. Pese a las dudas expuestas en el texto, de momento no me opongo demasiado a ninguna de las tres cosas dado que me veo como un recién llegado a este terreno. Por lo demás, se puede analizar la revolución y no ser utilitarista sin por ello dejar de ser neoclásico (ahí tienes al pequeño John Roemer con todo su aparataje técnico al servicio del marxisimo analítico). A mi modo de ver, derivas como el carácter utilitarista de la economía "ortodoxa" no son una consecuencia inevitable del método neoclásico. Mea culpa por mezclar churras con merinas de manera un tanto chapucera.

- Soy más consciente que nunca de que hay vida más allá del primer año. ¡VIVA EL REALISMO VISCERAL!

Un abrazo para todos,

Álvaro.

PD: Menos mal que se trataba de "pequeñas anotaciones"...

Julio Souto said...

Llego un poco tarde, pero jo també vull dir la meva.

Como protosociólogo obligado por su programa de estudios a cursar asignaturas como "Hacienda pública" o "Economía Política", nótese que todo lo que diga provendrá principalmente de la rabia y la pataleta. Especialmente ahora que acabo de empezar lo de la "jodienda pública" y me veo otra vez sumergido en conceptos como las asignaciones "pareto-eficientes" (que bonito queda) y la perpetua "racionalidad de los individuos en la maximización de su utilidad". Para un estudiante iletrado en la teología econométrica, eso de la "utilidad de un individuo" no acaba de quedar claro, (¿util para qué? ¿para quién?) sobre todo cuando el bienestar individual no se comprende sino vinculado al consumo y la producción material.

A esta supuesta "racionalidad" (típica, por ejemplo, de Olson) ataca muy certeramente el sociólogo Boaventura de Sousa Santos (aunque es de Coimbra, da clases en Columbia, así que contened momentaneamente los prejuicios xenófobos contra los portugueses). Tomando un concepto de Leibniz, la denomina "racionalidad indolente", que se despliega en cuatro dimensiones:

- racionalidad metonímica: considerar universal una forma de propia de una cultura.

- racionalidad proléptica:
(o "el fin de la historia") negar toda posibilidad de cambio en esta racionalidad.

- racionalidad impotente: negar la capacidad de accion social (determinismo estructuralista).

- racionalidad arrogante: negar todo condicionante social (individualismo existencialista).

Con estas cuatro categorías se puede desplegar una crítica de la racionalidad que preside el pensamiento científico propio de, al menos, el periodo que va del siglo XVIII a nuestros días. La parte propositiva (sociología de las emergencias, traducciones interdisciplinares) no deja de ser interesante.

Remitiría a algún artículo del citado portugués, pero no sé donde están. Así que os dejo el link a mis propios comentarios, que me han valido bastante aquí en la UAB:

http://jusousa.blogs.uv.es/2009/02/10/estrategias-para-el-analisis-del-cambio-social/


P.D.:
¿Hank Quinlan, "Quique", es Fatas?
¿Ese blog es suyo? No me sorprendería...

Espero que te vaya bien por allá, no lo dudo. Un abrazo.

Julio Souto said...

Perdón, que me han cortado el link (que era lo más importante).

http://jusousa.blogs.uv.es/2009/02/10/estrategias-
para-el-analisis-del-cambio-social/